MAGAZINES ET DOCUMENTAIRES


COURT CENTRAL

En trente minutes, Court Central, le magazine, revient sur l’actualité du cinéma et nous fait découvrir le court-métrage d’un jeune réalisateur. S’en suit un entretien de type master class entre le jeune talent et un réalisateur confirmé.

40 numéros par saison.
Diffusion sur OCS City les vendredis à 20h05

Court Central
Magazine (OCS)
Court Central
Elie Semoun
Court Central
Mélanie Doutey
Court Central
Etienne Chatiliez
Court Central
Maury Soudan
Court Central
Magazine (OCS)
Slider

« Court Central », le magazine qui met le court-métrage en valeur :
Composé de deux parties, « La Gazette du court » et « Master Class », « Court central » a pour but de dresser un état des lieux de la création cinématographique dans le domaine du court-métrage et de permettre à certains jeunes réalisateurs d’avoir une première vitrine de leur travail.

« La Gazette du court », l’actualité du court-métrage :
Avant la diffusion du court-métrage de la semaine, « La Gazette du court » proposera en cinq minutes un tour d’horizon décalé et incisif de l’actualité du court-métrage. L’occasion de révéler les foisonnantes initiatives personnelles, amateurs ou quasi-professionnelles, de montrer le dynamisme de ce milieu au travers des différents festivals et de mettre à jour les tendances et les jeunes talents de demain.
Au plus près du terrain, La Gazette du court pointe la caméra sur un milieu artistique très dynamique et atypique pour mieux nous faire vivre l’actualité des acteurs et des œuvres du court-métrage.

« Master Class », un point de rencontre entre jeunes talents, professionnels et spectateurs :
Chaque semaine dans « Master Class », un réalisateur confirmé visionne le court-métrage d’un jeune réalisateur et fait part de son ressenti. Sous la forme d’un échange, c’est l’opportunité pour le jeune réalisateur d’avoir un regard de professionnel sur son travail. Pour le deuxième, c’est l’occasion de partager son expérience et de prendre le pouls d’un nouveau cinéma.


JUSTE UNE MISE AU POINT

Juste une mise au point est une collection de documentaires inédits entièrement dédiée aux grands noms de la comédie à la Française. A travers de passionnants entretiens ponctués d’images d’archives, Sébastien Labadie et Moneypenny Productions retracent la carrière de ces grands metteurs en scène, représentants indispensables d’un certain cinéma populaire français des années 1970 et 80.

Juste une mise au point
Francis Veber
Juste une mise au point
Patrice Leconte
Juste une mise au point
Claude Zidi
Juste une mise au point
Jean-Marie Poiré
Slider

Francis Veber, scénariste, auteur de théâtre et réalisateur, évoque ses débuts de journaliste radiophonique, avant des premiers pas hésitants au théâtre. Puis les succès qui s’enchaînent, «L’Emmerdeur», «La Cage aux folles»… Derrière la caméra, Veber connait aussi plusieurs succès importants, comme «La Chèvre», «Les Compères» et «Les Fugitifs». On n’oubliera évidemment pas «Le Dîner de cons», triomphe sur scène et au cinéma, qui lui a valu le César du meilleur scénario.

Patrice Leconte retracera son parcours atypique, de son passage par l’IDHEC, la publicité, la bande dessinée et ses débuts compliqués au cinéma, avec l’échec public et critique de son premier film, «Les vécés étaient fermés de l’intérieur». Réalisateur de comédies populaires, comme la série des «Bronzés» ou «Viens chez moi, j’habite chez une copine», mais aussi des œuvres plus graves comme «Tandem», «Monsieur Hire» et bien sûr, «Ridicule», succès public et critique qui lui a valu le César du meilleur réalisateur.

Jean-Marie Poiré quant à lui, à qui l’on doit notamment «Le père Noël est une ordure», «Papy fait de la résistance» ou encore «Les Visiteurs», nous fait revivre cinq décennies de cinéma français et livre des anecdotes savoureuses autour des films qui ont marqué sa carrière. Il évoque également la difficulté du métier et insiste sur les amitiés puissantes nées de ce demi-siècle de carrière.

Claude Zidi, lui, débute sa carrière en tant que chef-opérateur pour Claude Chabrol ou Jacques Demy puis se lance dans la réalisation en 1971. Après avoir filmé les Charlots, il devient vite le roi du gag des comédies à la française, jusqu’à son ultime tournage pour les salles obscures («Ripoux 3»). Il dirige les grands du rire de l’époque, Pierre Richard («La moutarde me monte au nez» et «La Course à l’échalote»), puis associe Louis De Funès à Coluche («L’ Aile ou la Cuisse») et Annie Girardot («La Zizanie»). Son film «La Totale» aura droit à une adaptation hollywoodienne, «True Lies», signée James Cameron avec Arnold Schwarzenegger et Jamie Lee Curtis. Une destinée atypique, sur laquelle le réalisateur revient avec enthousiasme !